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Articles avec #nos conseils tag

Mise en route d'un lombri-composteur

12 Août 2019 , Rédigé par Robert Publié dans #nos conseils

TOUT LE MONDE  PEUT ET DOIT  COMPOSTER SES DÉCHETS ORGANIQUES DE LA CUISINE !

Un ménage qui possède un coin de terre (jardin, pelouse, ...)  peut y installer un composteur. Le sictom de Penol en propose en bois ou en plastique recyclé d'une contenance de 300 litres (contacter Karine-0474538230)

Un ménage  qui ne possède pas ce coin de terre peut néanmoins composter. Il faut un lombricomposteur, un composteur d'appartement qui s'entrepose dans un  garage, un couloir, un sas, sous un escalier et même  dans l'appartement ou la maison, mais jamais sur un balcon et une terrasse car les animaux qui vont le peupler risquent de mourir à cause de la chaleur  l'été ou du gel l'hiver.

C'est ainsi que Robert en a installé plusieurs chez des particuliers rencontrés  lors de nos animations.

Le dernier en date, le samedi 10 août chez Françoise, une adhérente de Saint Jean de Bournay.

Son fonctionnement repose sur l'activité biologique des vers rouges de terreau qui ingèrent et dégradent d'énormes quantités de déchets biodégradables. Ils réduisent ainsi jusqu'à  cinq fois le volume initial. De taille réduite, le lombri demande un minimum d'entretien.

Quelques mois après la mise en route (montage, démarrage, fourniture de vers de compost Eisenia Foetida), Robert s'inquiète de la satisfaction de l'adhérent et du bon fonctionnement de l'appareil.

Certains ménages ont un composteur d'extérieur mais font fonctionner un lombricomposteur les mois d'hiver pour ne pas être obligé d'aller porter les déchets de la cuisine dans le jardin (pluie, froid...) et dès les premières chaleurs de printemps le vident dans leur composteur ;  c'est aussi un amusement de voir travailler les vers en les nourrissant.

Le bureau collégial de l'association a décidé de prêter et de faire circuler dans les écoles demandeuses un lombricomposteur pour que les élèves apprennent à nourrir les vers, les voient travailler pour transformer les déchets apportés par les enfants chaque jour ; un savoir-faire et un plaisir qu'ils garderont un fois devenus adultes.

Voici que quelques photos du montage.

le matériel-3 tamis, fond avec roulettes et couvercle, décanteur,bac collecteur, vanne robinet et doseur lombri-thé de 500ml) ml)

 

 

robinet et joints

 

récupérateur -doseur de lombri-thé
la découpe du disque de fond
le disque en carton placé
le démarrage avec vers et carton
un disque avec poignée pour garder l'humidité
le guide-mode d'emploi

 

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Cultiver son jardin, c'est cultiver sa santé !

8 Mai 2019 , Rédigé par Robert Publié dans #nos conseils

Tous les amoureux du jardinage le savent bien, cette passion fait du bien au moral: après une journée harassante, une heure au jardin détend et repose le corps et l'esprit. Mais c'est aussi une activité physique aussi bénéfique qu'une pratique sportive régulière, recommandée par l'OMS.

Au jardin, chacun travaille à son rythme, à l'air libre. Se baisser pour désherber, se relever, tendre le bras pour couper une branche, porter un pot de fleur ou une brouette... tous ces gestes simples entretiennent le tonus musculaire et stimulent la sécrétion  de liquide synovial qui protège de l'arthrose.

même à plus de 80 ans, on peut jardiner !

Il n'y a pratiquement pas de contre-indications  au jardinage pour une personne en bonne santé, et quelque soit l'âge ; plus on jardine souvent, plus on va vivre en forme plus longtemps. On peut aller jusqu'à un début d'essoufflement, à une légère transpiration, à une petite sensation de fatigue et petit à petit, sans s'en rendre compte, on renforce nos capacités cardiaques et respiratoires. 

Pour éviter de ressentir des douleurs,   il faut varier les travaux toutes les 20 à 30 minutes afin de ne pas solliciter toujours les mêmes muscles et les mêmes articulations et surtout ne pas forcer.

Pour éprouver encore plus de plaisir, jardiner à plusieurs est idéal, soit en couple, soit avec le voisin, car le fait de papoter, de s 'entraider permet d'évacuer du stress, d'oublier un peu ses soucis.

Très important ! Soyez à jour de votre vaccin antitétanique ; il se fait pour les adultes tous les 20 ans mais à partir de 65 ans, un rappel tous les 10 ans est nécessaire ; c'est la présence d'une bactérie dans le sol ou son environnement, en cas de blessure, même bénigne qui provoque la maladie qui peut être mortelle si l'on n'est pas vacciné.

 

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Suite à un article paru dans RUSTICA N° 2563 du 8 au 14 février 2019

2 Mars 2019 , Rédigé par Robert Publié dans #nos conseils

A la lecture de ce court article (trop court sans doute par manque de place), "UN COMPOST SANS HANNETONS", il en ressort que dans les tas de compost, il n'y aurait que des larves de hanneton (puisque les larves de la cétoine ne sont pas mentionnées !) alors que, au contraire, dans un composteur, un tas de feuilles mortes, un arbre en train de pourrir, une souche d'arbre, les larves (gros vers blancs de 10 à 30 mm) ce sont des larves de cétoine dorée.

La larve de la cétoine se nourrit principalement de matières carbonées en décomposition (bois, carton, feuilles mortes, herbes séchées....), et dans la terre du potager, il n'y aurait pas assez de ces matières-là ; donc il est très rare pour ne pas dire jamais que ces larves " s'attaquent aux racines de nombreuses cultures et causent des dégâts importants".

D'ailleurs, je conseille vivement aux journalistes spécialisés de lire "composts et paillis" de Denis Pépin, jardinier, ingénieur écologue et agronome, conférencier, qui explique page 41 et 42 : "Les larves de cétoine vivent un an au moins et se nourrissent uniquement de la matière organique en décomposition. Leurs crottes fines contribuent à affiner le compost. Elles sont très bénéfiques , y compris dans le terreau, où elles ne s'attaquent jamais aux plantes.

Ces larves ressemblent beaucoup  aux vers blancs du hanneton. Mais elles sont totalement inoffensives  car elles ne consomment pas de racines vivantes, contrairement aux larves du hanneton qui ne vivent jamais dans le compost mais dans le sol, au contact des racines vivantes qu'elles mangent.

Si vous en trouvez dans votre compost mûr, ne les tuez pas mais remettez-les dans du compost en formation où elles finiront leur cycle"

Là où la journaliste a raison, c'est lorsqu'elle écrit, à la fin de l'article  "  de les retirer lorsqu'on crible le compost avant de l'épandre au potager " et non  pas en les tuant mais en les remettant dans le tas de compost, car dans la terre , elle mourront !.

Vous souhaitez voir des larves de cétoine, savoir somment elles vivent, dans quel environnement  elles se trouvent... demandez-nous, ce sera avec plaisir qu'on vous en montrera.

Sur le stand d'informations et de conseils de notre association, Robert en a toujours à faire voir et explique comment la différencier de celle du hanneton, car effectivement, elles se ressemblent beaucoup.

Pour infos, RUSTICA a reçu notre remarque, on en attend pas moins  un complément rectificatif.

 

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La taille des arbres fruitiers

6 Janvier 2019 , Rédigé par Robert Thivolle Publié dans #nos conseils

Qu'elle soit d'été, d'hiver, en vert, des arbres à pépins ou à noyaux, trigemme...

ou que l'on considère les yeux à bois, à fleurs, la coursonne, le dard, la brindille couronnée, le rameau, la charpentière, la bourse ou lambourde, le bouquet de mai,... la taille des fruitiers semble bien compliquée pour les non-professionnels.

J'ai fait appel à mon cousin ( qui a une passion évidente  pour la nature, les arbres fruitiers, la taille et les greffes ) qui a bien voulu venir dans le  jardin de  Gérard et Magali, à Pommier , adhérents à l'association  pour nous montrer les principes généraux  de la taille d'hiver. 

Georges taille en expliquant, sous le regard très intéressé de Magali et Gérard

 

Car tout comme pour le compost pour lequel il faut respecter les trois règles dîtes "en or" pour faire du compost de qualité, pour la taille des arbres, il faut également respecter  des règles de base :

1/ utiliser des outils (sécateur à main, à bras, petite scie) il existe des sécateurs pour gauchers  !

           - bien affûtés pour faire des coupes nettes, sans abîmer le bois

           - bien désinfectés pour ne pas transmettre des maladies à d'autres arbres

2/ couper les rejets au pied de l'arbre et toutes les branches situées en dessous du bourrelet de greffe, le bois mort, malade ( chancre...) ou abîmé par les cassures ou les anciennes attaches, les branches qui ont subi le coup de soleil...

3/ couper les rameaux qui se croisent vers l'intérieur ou en surnombre  car il faut "ouvrir" l'arbre pour faire entrer la lumière,  enlever les fruits non récoltés, secs  car avec l'humidité, les spores de pourriture risquent de contaminer les nouvelles fleurs.  

4/ La taille d'hiver (taille d'entretien)  s'effectuant de décembre à mars, période de repos de la végétation, il faut recouvrir les  coupes par du cicatrisant pour éviter d'être infectées par les parasites et champignons ; par contre, en taille en vert, à partir d'avril, la cicatrisation se fait plus naturellement avec la montée de la sève ; pour les pommiers, poiriers, la taille (trigemme)  s'effectue en coupant au dessus du 3ème œil, qui part vers l'extérieur et les fruits sont portés par des branches de plus de deux ans.

Il faut de préférence laisser les bourgeons les plus près de la charpentière, les bouquets de mai ;  ils donneront des fruits plus gros et plus charnus.

Le cicatrisant  est un mélange de bouillie bordelaise et d'huile végétale, en respectant le dosage. Pour éviter la montée des insectes, on peut badigeonner tout le tronc en y ajoutant de l' argile  blanche.

5/ il faut respecter, inspecter les organes de l'arbre et surveiller la nature pour bien tailler, se faire sa propre expérience tout en respectant vigueur et production

- Le rameau est un œil à bois qui s'est développé et porte des feuilles 

- la brindille (plus petite ) se termine par un œil à bois, la brindille couronnée se termine par un bourgeon à fleur

- le dard est indéterminé, suivant la taille et le climat, l'arbre décidera d' un rameau ou d' un fruit, souvent l'année suivante.

- la bourse est une intersection, d'un rameau à bois et d'un bourgeon à fleur, donc un fruit

- la coursonne regroupe un peu tout ça.

- certaines variétés de pommiers font la fleur près de la charpentière, d'autres en bout de brindille, donc, en connaissant l'arbre, si on taille  court, à trois yeux, il n'y aura jamais de fruits suivant les variétés. 

- si l'arbre a été négligé durant plusieurs années, il faut faire une taille sévère, radicale pour redonner la forme à l'arbre, quitte à avoir peu de fruit sur un ou deux ans.

- il faut éviter de mettre des liens rigides en fil de fer mais plutôt utiliser des liens tubulaires, caoutchoutés qui ne blesseront pas les branches. 

- pour éviter au maximum la prolifération des œufs de parasites,  on peut badigeonner le tronc ou piéger ces œufs et les enlever avant l'éclosion, par exemple avec du carton ondulé de bonne qualité, on enlève le papier sur un côté, on entoure le tronc , les œufs sont pondus  dans les ondulations, on n'a plus qu'à détruire les carton portant les œufs avant éclosion !

Voila quelques conseils, on peut envisager des ateliers de taille ou de greffe, si la demande s'en fait ressentir ;

Comme en 2018 (lundi de Pentecôte) il devrait être possible de renouveler la visite des Jardins de Terre Vivante à MENS et assister à des ateliers gratuits, ce jour-là. (permaculture, taille, apiculture...)

Si des lecteurs de ce blog, habitant sur le territoire du SICTOM de la Bièvre ont des connaissances dans ces domaines, qu'ils se fassent connaître par le biais de notre rubrique "contact" ou "commentaires" ou bien sur notre adresse-mail ; lesamisdeslombrics.bievre@gmail.com

un arbre qui va être paillé

 

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A l'automne, les feuilles se ramassent à la pelle !

30 Novembre 2018 , Rédigé par robert thivolle Publié dans #nos conseils

article rédigé par Christian NANCHEN, compostage Eco-citoyen

Conseils, conception, animations, formation

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Les paillages : une expérience longue durée à la Ville de Paris

26 Juin 2018 , Rédigé par Charlotte Barbut Publié dans #nos conseils

Nous vous invitons à lire cet article de la revue Jardins de France.

"Recommandé par la labellisation EcoJardin, le paillage est développé sur l’ensemble des 490 parcs et jardins de la Ville de Paris. La majorité des 57 ateliers de jardinage utilise quatre à cinq paillis différents et certains d’entre eux en emploient jusqu’à une douzaine.

Pour tenter d’évaluer les effets, positifs et/ou négatifs, de cette pratique à long terme, une expérimentation est conduite depuis 2004 dans le fruticetum (collection d’arbustes) de l’École Du Breuil."

L'étude comporte une analyse de la biomasse microbienne et de la présence de lombrics.

https://www.jardinsdefrance.org/paillages-experience-longue-duree-a-ville-de-paris/

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Qu'est-ce que le lombricompostage ou vermicompostage ?

19 Novembre 2016 , Rédigé par Robert Thivolle Publié dans #nos conseils

Un atelier de lombricompostage organisé par notre association

Un atelier de lombricompostage organisé par notre association

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Pailler pour éviter la battance

1 Juillet 2016 , Rédigé par Charlotte Barbut Publié dans #nos conseils

Battance : Caractère d'un sol tendant à se désagréger et à former une croûte en surface sous l'action de la pluie. C'est une des expressions de la régression et dégradation des sols. (source : Wikipedia)

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Que faire en mai, au jardin ?

11 Mai 2016 , Rédigé par robert Thivolle Publié dans #nos conseils

le potager et les capucines
le potager et les capucines

Créer une mini-garrigue pour les herbes de Provence : dans les terres riches et lourdes de la plupart de nos jardins, les thyms, sauges, romarins et autres plantes de garrigue s'épanouissent puis .... périclitent en deux ou trois ans, souffrant de l'humidité du sol. Pour les conserver plus longtemps, il convient de les planter dans une terre que l'on aura rendu bien drainante en ajoutant de grandes quantités de cailloux, graviers et sable.

1ère quinzaine du mois, au potager : semer en pleine terre : arroche, betterave, carotte, ciboule, panais, poirée, radis, salades...

Planter après les derniers risques de gelée, les saints de glace étant les 11,12 et 13 mai : céleris, concombre, courgette, courges, poivrons...

Au 10 mai, il est plus que temps de planter les pommes de terre !

Utiliser les tontes pour pailler le potager afin de mieux résister aux fortes chaleurs de l'été ; le gazon vert peut couvrir à raison de 1 à 2 cm d'épaisseur, tandis que l'on peut mettre la même herbe mais sèche sur une hauteur de 10 cm, les micro-organismes vont décomposer naturellement ces déchets pour alimenter les racines et aérer le sol.

au jardin d'ornement : semer en place : belle-de-jour, capucines, cosmos, tagètes...

Semer une plante gourmande...les graines de capucines se sèment en place dans un sol bien réchauffé ; elles se glissent absolument partout dans le jardin, des balconnières au potager en passant par les massifs. Leurs fleurs apportent une touche agréablement piquante aux salades, tandis qu'en fin de saison, leurs fruits verts, confits au vinaigre se transforment en câpres.

... et une plante compagne. " un jardin sans bourrache est comme un cœur sans courage" affirme un diction anglais. Début mai, il est encore temps de semer cette plante qui a la réputation de favoriser la croissance des plantes qui l'entourent. Elle s'orne d'une myriade de fleurs bleues étoilées qui agrémentent les salades de leur touche colorée et de leur saveur iodée.

2ème quinzaine : repère phénologique : floraison de l'aubépine, de la glycine = fin du printemps, arrivée de l'été.

Surveiller le compost, les déchets cumulés depuis quelques mois doivent commencer à se tasser : aérer si besoin en retournant, en ramenant l'extérieur un peu plus sec vers l'intérieur.

Un sureau pousse d'aventure dans votre jardin ? Profitez-en pour le cultiver. Cet arbuste est très facile à tailler et, en jouant du sécateur, on lui donne la forme et la hauteur que l'on souhaite. Le sureau offre à notre gourmandise ses fleurs et ses fruits. Mais ce n'est pas tout :

il accueille un grand nombre d'auxiliaires et les extraits végétaux de ses feuilles sont réputés répulsifs contre les taupes, rongeurs, altises et pucerons.

Tapis de fleurs au pied des arbres : difficile de cultiver des fleurs en lisière de haie, autour des arbustes ! Pourtant, certaines plantes supportent bien la concurrence des racines et apprécient l'ombre légère de ces situations. Elle vont même jusqu'à former de larges couvre-sol. Il en est

ainsi de l'ail des ours et de l'aspérule odorante dont vous pourrez planter les godets durant tout le printemps et le début de l'été.

Les saints de glace sont : saint Mamert, saint Pancrace et saint Servais.

Ne vous précipitez pas au jardin, car " le premier des saints de glace, souvent tu en gardes des traces".

Mais attention ! "la gelée de la saint Urbain (25 mai) anéantit fruits, pain et vin." et "quand la Saint Urbain est passée, le vigneron est assuré "

(sources de l'article, principalement : Agenda 2014 du jardinier bio de terre vivante)

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Comment agrandir mon potager sans trop d'efforts ?

20 Avril 2016 , Rédigé par Charlotte Barbut Publié dans #nos conseils

Jusqu'à cet automne, mon potager se composait de 4 carrés de 1,20*1,20 m cultivés selon la méthode du potager en carré de Anne-Marie Nageleisen (en tout cas, je m'en inspire).

Mais à la fin de l'été, j'ai décidé d'agrandir la surface de mon potager. Je dispose maintenant de deux rectangles supplémentaires d'environ 1,20*3,50 m réalisés sans trop d'efforts à mon goût.

Comment m'y suis-je prise ? J'ai utilisé un motoculteur ? Non, je n'en ai pas et n'en veux pas car je ne pense pas que j'aurais la force nécessaire pour l'utiliser (parmi d'autres raisons). Or je viens de dire que cette réalisation devait se faire sans trop d'efforts.

En fait, j'ai demandé à quelqu'un de le faire pour moi. Mais pas à n'importe qui, à mes amis les lombrics. Comment ? A l'aide de grands cartons type cartons de déménagement (après avoir retiré scotchs et agrafes) et de débris végétaux.

Tout d'abord, après une dernière tonte automnal (et c'est tout), j'ai déposé sur le sol une double épaisseur de cartons. Pour délimiter la parcelle de manière esthétique, j'ai recouvert le tour des cartons de tuiles canal, héritées avec l'achat de la maison.

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